.
Né en 1963 en région lausannoise où il réside, Alain Haerri vient d’une formation scientifique qu’il met au service d’une recherche artistique atypique.
Très tôt, il développe une œuvre qui s’inscrit dans le domaine de l’art cinétique, un champ de création interrogeant la relation entre geste, perception et temporalité. Fasciné par le langage infini qu’offrent certains mécanismes simples, il développe des projets dans lesquels des objets ordinaires s’animent grâce à des systèmes électroniques, programmés avec des algorithmes de sa composition.
Le résultat : des installations où rythme, imagination, humour et poésie visuelle dialoguent en laissant une place à l’aléatoire.
Très tôt, il développe une œuvre qui s’inscrit dans le domaine de l’art cinétique, un champ de création interrogeant la relation entre geste, perception et temporalité. Fasciné par le langage infini qu’offrent certains mécanismes simples, il développe des projets dans lesquels des objets ordinaires s’animent grâce à des systèmes électroniques, programmés avec des algorithmes de sa composition.
Le résultat : des installations où rythme, imagination, humour et poésie visuelle dialoguent en laissant une place à l’aléatoire.
Inspiré actuellement par les recherches de Cruz-Diez et plus largement par les grands noms de l’art cinétique non-motorisé, tels Sotto ou Agam, l’artiste propose ici des tableaux que nous animons en nous déplaçant. Dans ce nouveau jeu d’optique, c’est le spectateur qui crée le mouvement.
Il associe couleurs vives, tonalités subtiles et vibrations. La couleur n’est plus une pigmentation fixe, elle devient événement onirique, phénomène animé.
Les composantes de l’œuvre ne sont jamais permanentes. Elles se fragmentent, se recomposent, générant des géométries latentes et des rythmes variés au gré de la lumière du jour, des éclairages, de l’ambiance du lieu. Les tableaux « bougent » littéralement sous notre regard.
Les composantes de l’œuvre ne sont jamais permanentes. Elles se fragmentent, se recomposent, générant des géométries latentes et des rythmes variés au gré de la lumière du jour, des éclairages, de l’ambiance du lieu. Les tableaux « bougent » littéralement sous notre regard.
Derrière la simplicité apparente de l’illusion d’optique se cache la précision extrême, millimétrique, des interractions de tons, des dégradés, des influences diverses, prenant en compte l’indice de réfraction du matériau. Le résultat final est captivant, ludique et vivant.
*
*
.
*
*
*
Nous proposons conjointement un accrochage
de lithographies et dessins, avec des œuvres de
Alberto Giacometti, Robert Rauschenberg, Eduardo Chillida,
Marc De Bernardis, Michel Devrient, Emilienne Farny.
*
*
À l’occasion de la sortie de la première monographie retraçant l’ensemble du parcours d’Arduino Cantàfora,
nous vous proposons un accrochage de ses œuvres,
ainsi que deux étoles en édition limitée,
issues d’une collaboration de l’artiste avec l’entreprise Larioseta (Como, Italia).
*
Foulard en twill de soie, 90 x 90 cm, réalisé artisanalement en Italie
*
Étole carré en laine et cachemire, 140 x 140 cm, réalisé artisanalement en Italie
*
* *
Nous nous réjouissons de vous accueillir
du mardi au vendredi, de 10h à 18h30,
le samedi, de 10h à 17h.
***
Galerie Univers
Au premier étage | 5, Rue centrale – 1003 Lausanne
021 312 85 42 | galerie.univers@gmail.com